Est-ce que l’IA peut remplacer les avocats ? L’avis d’Agnès Bardel !

L’IA offre des avantages significatifs en automatisant les tâches routinières et répétitives, permettant aux avocats de se concentrer sur des aspects plus stratégiques de leur travail.

Des outils d’IA peuvent prendre en charge la rédaction d’e-mails standards, de courriers basiques, voire de certains types de contrats avec des clauses standardisées.
Cela permet aux avocats comme Agnès Bardel de se libérer de la paperasserie et de gagner en efficacité.

Avec le temps, ces technologies devraient devenir encore plus fiables, minimisant le besoin de vérifications humaines fréquentes et augmentant davantage la productivité des cabinets juridiques.

Malgré les progrès de l’IA, le rôle de l’avocat reste fondamentalement irremplaçable, surtout dans les aspects créatifs et innovants de la pratique juridique.

Agnès Bardel souligne que l’IA, à son état actuel et pour l’avenir prévisible, ne peut pas remplacer la capacité humaine à élaborer des solutions sur-mesure et à gérer les nuances complexes des affaires juridiques. La partie créative de la profession, qui implique l’invention de solutions uniques et personnalisées pour chaque client, reste une prérogative humaine.

L’aspect humain et relationnel de la pratique juridique est un autre domaine où l’IA ne peut tout simplement pas égaler les avocats. La gestion des relations client, l’empathie et la compréhension des émotions humaines sont cruciales pour une pratique juridique efficace.

Bien que l’avenir puisse réserver des avancées surprenantes, comme des robots aux apparences humaines capables de simuler des émotions, Agnès Bardel pense que ces technologies ne remplaceront pas la profondeur et l’authenticité des interactions humaines dans un avenir proche.

Dans sa pratique quotidienne, Agnès Bardel utilise des outils d’IA fournis par des éditeurs juridiques pour accélérer le traitement de projets basiques. Toutefois, elle reste prudente avec des outils comme ChatGPT, qu’elle évite en raison du risque d’erreurs potentielles et de la gestion des données. Elle privilégie des outils spécialisés et sécurisés qui sont adaptés aux besoins spécifiques de la pratique juridique française.

Conclusion, adopter l’IA dans la pratique juridique est inévitable. Agnès Bardel encourage ses pairs à prendre ce virage technologique dès maintenant. Elle souligne l’importance de rester vigilant, de vérifier systématiquement les sources et les données, et de limiter l’utilisation de l’IA aux aspects les plus simples de la pratique pour garantir la qualité et la sécurité juridique.

Cet équilibre entre innovation technologique et compétence humaine définira le futur du droit, avec des professionnels comme Agnès Bardel à l’avant-garde de cette évolution.